"Quand la réalité est banale et triste, inventez-moi une belle histoire". Bien que cette phrase sorte de la bouche de l'un des personnages créés par Olivier Bourdeaut, auteur du roman En attendant Bojangles, on imagine que cette requête aurait tout aussi bien pu lui être adressée par l'un de ses lecteurs, un peu à la manière du petit prince : "S'il vous plaît, dessine-moi un mouton". Loin de tout considération ovine, En attendant Bojangles raconte l'histoire d'une famille ext
Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais, en ce qui me concerne, j'ai toujours eu un faible pour les histoires de pirates, les noms de leurs navires qui claquent autant qu'un pavillon à tête de mort hissé haut, et bien sûr leurs trésors légendaires. Quand je ne dépassais pas 120 centimètres, c'est la figure de Rackham le Rouge qui me fascinait, et le secret de la Licorne ; puis, lorsque mes gènes de géant du nord n'avaient pas encore fait leur coming-out et me stabilisa
Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais, en ce qui me concerne, il me suffit parfois d'une toute petite miette de la personnalité de quelqu'un pour me donner envie de le découvrir davantage. Il y a quelque temps, je vous causais de Vous connaissez peut-être, le dernier roman de Joann Sfar. Dans ce bouquin truffé d'anecdotes sur diverses célébrités, au sens noble du terme, le père du chat du rabbin évoque une discussion qu'il a eu avec Moebius, auteur français de bande
Il y a quelques temps, je vous avouais être plutôt quiche en Histoire. Non pas que je trouve cette matière inintéressante, bien au contraire, mais j'ai toujours été sceptique sur la manière dont elle m'a été enseignée. Peut-être ne suis-je pas tombée sur la crème des profs d'histoire-géo, mais, dans mes souvenirs, les heures de cours passaient très lentement et se résumaient bien souvent à l'énumération d'une succession de faits articulés entre eux. Si je voulais faire une en
Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais, en ce qui me concerne, j'ai toujours été fascinée par le nombre de tableaux et de posters représentant des icônes de beauté des temps passés qu'on peut se procurer pour trois francs six sous dans les magasins discount et qu'on a l'impression de voir partout. PAR-TOUT. Notamment des Marilyn à tire-larigot, de plus ou moins bon goût. Tenez, ça m'a frappé l'autre jour chez mon esthéticienne : qui trônait sur le mur et me toisait de